(New York, 28 mai 2025) — Le Metropolitan Museum of Art a réouvert l’aile Michael C. Rockefeller aujourd’hui à la suite d’une rénovation de grande envergure. Cette aile abrite les collections exposées dans les galeries dédiées aux arts d’Afrique, des Amériques précolombiennes et d’Océanie, couvrant plus de 1 800 œuvres provenant de cinq continents et témoignant de centaines de cultures. Ces trois traditions mondiales de premier plan sont présentées comme entités indépendantes dans une aile qui maintient le dialogue avec les galeries voisines. Les galeries sont fermées au public et en rénovation depuis 2021, et rouvriront au public le 31 mai 2025 avec de grandes festivités prévues toute la journée.
Conçues par WHY Architecture en collaboration avec Beyer Blinder, Belle Architects LLP et le département de Conception du Met, les galeries repensées visent à transformer l’expérience des visiteurs et à intégrer des technologies innovantes qui permettent au musée d’exposer les objets sous un nouveau jour. Chaque galerie dédiée à une zone de collection distincte intègre des éléments de conception qui rappellent et rendent hommage aux styles architecturaux propres à chaque région.
La réinstallation des trois collections des arts d’Afrique, des Amériques précolombiennes et d’Océanie reflète les dernières recherches menées en collaboration avec des experts et chercheurs internationaux. Les présentations numériques et les nouveaux textes muraux offrent un meilleur contexte pour les objets exposés. Les points forts des collections bien connues des visiteurs de longue date du Met sont présentés de manière innovante avec une conception de galerie entièrement nouvelle, qui intègre la lumière naturelle filtrée à travers un mur de verre incliné conçu sur mesure grâce à des techniques de pointe sur la façade sud, adjacente à Central Park. De plus, chaque collection présente des objets inédits, notamment de nouvelles acquisitions majeures d’art historique et contemporain dans les galeries dédiées aux arts d’Afrique ; une galerie consacrée aux textiles andins précolombiens sensibles à la lumière, qui constitue une première aux États-Unis ; ainsi que plusieurs nouvelles commandes d’artistes indigènes, qui seront accompagnées d’éléments numériques proposant des perspectives contemporaines, pour les galeries dédiées à l’Océanie.
« La rénovation complète de l’aile Michael C. Rockefeller témoigne de l’engagement profond et de l’expertise inégalée du Met dans la préservation et l’élargissement de la compréhension des œuvres de sa collection. Grâce à notre approche collaborative et communautaire de la conservation de ces collections, la transformation des galeries nous permet d’encourager l’appréciation et la contextualisation de certaines des cultures les plus importantes du monde », a déclaré Max Hollein, directeur et chef de la direction Marina Kellen French du Met. « L’ouverture de cette aile en 1982 avait élargi la perspective du Met sur l’histoire de l’art mondial. Cette réinvention ambitieuse et innovante reflète notre volonté perpétuelle de développer, voire de complexifier, ces récits. Nous sommes immensément reconnaissants aux nombreux artistes, chercheurs, leaders communautaires et figures culturelles qui collaborent avec nous dans ce travail essentiel. Nous avons hâte de dévoiler ces superbes galeries aux visiteurs de New York et du monde entier au printemps. »
Kulapat Yantrasast, fondateur et directeur créatif de WHY Architecture, a déclaré : « L’aile Michael C. Rockefeller illustre parfaitement la conviction de WHY selon laquelle les musées sont de véritables lieux d’empathie. Ce sont des espaces où des visiteurs venus de tous horizons peuvent découvrir et apprécier des œuvres d’art issues de différentes cultures à travers le monde. En collaboration avec le Met, nous avons voulu mettre en lumière la diversité et la singularité de ces collections incroyablement riches, tout en créant un lieu accueillant et mémorable. La lumière naturelle et les liens visuels avec Central Park sont des éléments essentiels de cette aile réinventée, et les moments de découverte sont véritablement au cœur de notre approche de la conception des espaces d’art. Nous espérons que les visiteurs garderont en mémoire ce qu’ils y ont vécu, ainsi que l’endroit où ils l’ont vécu. »
Alisa LaGamma, conservatrice Ceil et Michael E. Pulitzer du département des Arts d’Afrique et responsable de l’aile Michael C. Rockefeller, a ajouté : « Le principal objectif de ce projet ambitieux est d’approfondir l’appréciation de la splendeur des œuvres exposées. Si la création de l’aile a d’abord affirmé la place des arts d’Afrique subsaharienne, des Amériques précolombiennes et d’Océanie au sein du plus important musée du monde, cette nouvelle version met en avant leur autonomie et célèbre les artistes derrière ces œuvres. Les nouvelles galeries dédiées à ces trois grandes collections installées dans l’aile Michael C. Rockefeller permettent au public de les redécouvrir dans un contexte enrichi. Des biographies d’artistes aux interviews d’experts de chaque région, les œuvres sont désormais liées à des sites historiques spécifiques à travers des audioguides et des films documentaires qui font partie intégrante de l’expérience des visiteurs. »
À propos de l’aile Michael C. Rockefeller
L’aile Michael C. Rockefeller du Met regroupe trois collections distinctes que sont les arts d’Afrique, des Amériques précolombiennes et d’Océanie ; elle les présente comme des entités discrètes dans une aile imposante qui maintient le dialogue avec l’ensemble des collections du musée.
Dans les années 1950 et 1960, l’homme d’État et philanthrope américain Nelson Aldrich Rockefeller avait rassemblé une collection d’arts non occidentaux incluant les Amériques précolombiennes ainsi que des régions du monde alors absentes de la collection du musée, comme l’Afrique et l’Océanie. En 1969, il a été annoncé que cette collection serait transférée au Met sous la forme d’un nouveau département et d’une nouvelle aile. Ouverte au public en 1982, l’aile a été baptisée en hommage à Michael C. Rockefeller, le fils de Nelson Rockefeller, qui avait été profondément inspiré par les cultures et les arts du Pacifique et avait exploré de nouvelles perspectives artistiques au cours de ses voyages dans cette région. Parmi les œuvres emblématiques de l’aile figurent les étonnantes sculptures asmat qu’il avait étudiées et collectionnées dans le sud-ouest de la Nouvelle-Guinée.
Arts d’Afrique

L’installation revisitée des galeries dédiées aux arts d’Afrique permet aux visiteurs de redécouvrir la collection d’art d’Afrique subsaharienne du Met à travers environ 500 œuvres organisées pour favoriser l’exploration des grands mouvements artistiques et traditions vivantes de l’ensemble du sous-continent. Les nouvelles galeries mettent en lumière des créations allant du Moyen Âge à nos jours, comme une figure en argile cuite du XIIe siècle, façonnée dans le delta intérieur du Niger au Mali, ou l’œuvre en fibres Bleu no. 1 (2014) d’Abdoulaye Konaté (né en 1953 à Diré, au Mali), un innovateur basé à Bamako, au Mali, et grandement acclamé par la critique. Un quart des œuvres, acquises et offertes récemment par des donateurs pour célébrer ce projet d’investissement, sont présentées pour la première fois dans l’enceinte du Met.
Ces galeries repensées intègrent cette extraordinaire collection dans des éléments architecturaux régionaux et rendent hommage à des repères culturels emblématiques d’Afrique, comme un plafond vertigineux surmonté d’une succession de chicanes horizontales qui suggèrent des nervures inspirées de la Grande Mosquée de Djenné au Mali, tout en soulignant leurs liens avec d’autres grandes traditions artistiques mondiales. Situées juste à côté des galeries d’art gréco-romain, Ainsi que de sculptures et arts décoratifs européens, ces nouvelles galeries mettront en valeur les anciennes traditions visuelles africaines et leurs liens historiques avec l’Europe, lesquels remontent jusqu’à la Renaissance.
La réinstallation s’appuie sur des recherches et échanges contemporains réalisés avec un réseau d’experts internationaux aux États-Unis et dans toute l’Afrique subsaharienne. Une des pièces maîtresses de cette contextualisation élargie est une initiative numérique consistant en une série de films produits par la cinéaste américano-éthiopienne Sosena Solomon, en partenariat avec le World Monuments Fund (WMF), qui mettent en lumière les repères culturels distinctifs de l’Afrique. Ces films sont diffusés dans les galeries et en ligne.
Cliquez sur le lien pour obtenir de plus amples informations sur les galeries des arts d’Afrique.

La réinstallation au sein des galeries dédiées aux arts des Amériques précolombiennes met en lumière environ 700 œuvres choisies pour illustrer l’héritage artistique des artistes indigènes d’Amérique du Nord, d’Amérique centrale, d’Amérique du Sud et des Caraïbes avant l’année 1600 de notre ère. Cette collection exceptionnelle est présentée à une nouvelle génération de visiteurs ; elle intègre les recherches contemporaines et enrichit ainsi la compréhension des arts ancestraux d’Amérique latine et des Caraïbes. Les nouvelles galeries exposent des sculptures en pierre monumentales, des pièces métalliques sophistiquées, des céramiques raffinées, ainsi que des tenues somptueuses ornées d’or, de coquillages et de pierres semi-précieuses, et des sculptures en bois délicates.
Les galeries consacrées aux arts des Amériques précolombiennes sont situées face aux collections d’art moderne et contemporain, et à côté des galeries dédiées aux arts d’Océanie. Inspirée par l’architecture des Amériques précolombiennes, la conception intègre des plateformes en pierre rappelant les monuments de la Méso-Amérique et des Andes, des places rectilignes typiques du Mexique central aux structures en U de l’architecture sacrée de la côte nord du Pérou. Parmi les points forts, une nouvelle galerie dédiée aux textiles et aux plumes présente 3 000 ans d’innovations dans les arts de la fibre.
La nouvelle installation est le fruit de huit années de collaboration étroite avec de nombreux collègues d’Amérique latine. Les galeries rénovées reflètent les avancées récentes dans la recherche et intègre la compréhension des artistes, de leurs matériaux, techniques, et rôles sociaux, ainsi que des liens récemment découverts entre les régions. Elles intègrent les traditions indigènes de la période vice-royale (coloniale), et bénéficient également de nouvelles perspectives sur les concepts indigènes du monde naturel ainsi que de perceptions nuancées des rôles des hommes et des femmes. Les textes indigènes, qu’ils soient précolombiens, historiques ou contemporains, ont enrichi la narration curatoriale, offrant une interprétation et une appréciation plus profondes des œuvres exposées.
Joanne Pillsbury, conservatrice Andrall E. Pearson du département des Arts des Amériques précolombiennes, a déclaré : « Depuis la création du musée, la présence de ces œuvres au Met reflète les changements de perception sur la place de l’art américain précolombien dans l’histoire mondiale de l’art. Ces 30 dernières années, notre compréhension des Incas, des Mayas et d’autres grandes cultures d’Amérique latine avant le XVIe siècle a évolué de manière spectaculaire, et a même inclus l’identification d’artistes spécifiques. Ce fut un privilège de collaborer avec de nombreux chercheurs des Amériques pour redéfinir les galeries à la lumière de ces nouvelles découvertes. »
Cliquez sur le lien pour obtenir de plus amples informations sur les galeries des arts des Amériques précolombiennes.

Les galeries réaménagées des arts d’Océanie redonnent vie à cette collection emblématique du Met en présentant plus de 500 ans de créations issues de cette vaste région et encadrées par de nouvelles perspectives indigènes célébrant l’ingéniosité constante des plus grands artistes visuels d’Océanie.
Elles présentent plus de 650 œuvres exceptionnelles issues de la remarquable collection d’art d’Océanie du musée, provenant de plus de 140 cultures distinctes d’une région d’une diversité incroyable qui couvre près d’un tiers de la surface de la terre et continue de captiver l’imagination du monde entier. Parmi elles, des pièces monumentales de la grande île de Nouvelle-Guinée et des archipels qui s’étendent vers le nord, le centre et l’est du Pacifique, ainsi que des œuvres d’Australie et de l’Asie du Sud-Est insulaire, dont les communautés indigènes partagent toutes des racines communes. De nombreuses acquisitions enrichissent cette collection en élargissant considérablement la diversité des supports et des cultures représentés. Parmi elles, des œuvres qui élargissent la narration curatoriale en recalibrant et en équilibrant l’ancienne focalisation sur l’architecture cérémonielle et les pratiques rituelles des hommes, et en élargissant la collection pour y inclure le travail des femmes, en particulier des travaux de la fibre réalisés par des femmes artistes seniors d’Australie et de Nouvelle-Guinée.
Les nouvelles galeries des arts d’Océanie s’organisent autour d’une nouvelle trajectoire diagonale spectaculaire qui traverse l’aile Michael C. Rockefeller. Ce parcours met en lumière les liens ancestraux et les temporalités indigènes, offrant ainsi un regard sur l’art qui se penche à la fois sur le passé lointain de la région océanienne et sur les expressions contemporaines en évolution constante de son pouvoir. La nouvelle disposition crée des lignes de vue qui mettent en avant les interactions dynamiques entre groupes insulaires voisins, ce qui a ouvert la voie à l’innovation et la créativité dans le domaine artistique. Une installation majestueuse d’art asmat au nord côtoie le plafond kwoma emblématique baigné de lumière naturelle au sud. Ces éléments sont reliés par une série de galeries plus intimes, conçues pour encourager l’observation et la réflexion approfondies, dans lesquelles les résonances visuelles renforcent les liens historiques entre les peuples de langue austronésienne qui sont profondément unis, et non pas séparés, par l’océan. Des textes muraux et des récits numériques parsèment les galeries, faisant entendre les voix indigènes et mettant en lumière les avancées récentes en matière de recherche interdisciplinaire. Ils soulignent également la créativité constante des artistes indigènes d’Océanie à travers le prisme de l’histoire mondiale, de la narration, de l’art oratoire et de la performance dans le Pacifique.
Maia Nuku, conservatrice John A. Friede et A. J. Hall du département des Arts d’Océanie, a déclaré : « La collection des arts d’Océanie du Met est exceptionnellement riche en termes d’étendue et de diversité. Cela nous offre une occasion rare de présenter des œuvres provenant de toute la région, des pièces remarquables créées au cours des 500 dernières années par les descendants des premiers voyageurs austronésiens qui se sont installés dans cette dernière région du monde lors des vagues de migration qui ont débuté il y a 3 500 à 5 000 ans. Le cadre conceptuel de nos nouvelles galeries répond directement aux dynamiques spatiales et relationnelles uniques de l’Océanie : les horizons, le dôme du ciel et les îles jaillissant d’un vaste océan qui constituent les coordonnées géographiques guidant et façonnant la vie dans ce paysage fascinant. La disposition dynamique est accentuée par des éléments architecturaux spécialement conçus pour encadrer les œuvres d’art, tant sur les plans verticaux qu’horizontaux. Cette organisation formelle des pièces maîtresses offre des repères visuels forts qui soulignent la connectivité et évoquent directement les manières distinctes dont les peuples océaniens abordent la vie et utilisent l’art pour naviguer à travers les mondes physique et spirituel. »
Cliquez sur le lien pour obtenir de plus amples informations sur les galeries des arts d’Océanie.
Crédits
Nous tenons à remercier tous ceux qui ont rendu possible la rénovation de l’aile Michael C. Rockefeller. Nous remercions notamment The Carson Family Charitable Trust, Kyveli et George Economou, Bobby Kotick, les docteurs Daniel et Marian Malcolm, Adam Lindemann et Amalia Dayan, Samuel H. et Linda M. Lindenbaum, Samuel et Gabrielle Lurie, la famille Marron, la Naddisy Foundation, la ville de New York, l’Estate of Abby M. O’Neill, Andrall E. Pearson et la famille Rappaport, l’Estate of Ruth J. Prager, Ceil et Michael E. Pulitzer, Carlos Rodríguez-Pastor et Gabriela Pérez Rocchietti, Alejandro et Charlotte Santo Domingo, ainsi que la famille Skarstedt. Nous avons également bénéficié d’un soutien précieux de M. et Mme Richard Lockwood Chilton, Jr., Mariana et Raymond Herrmann, Mary R. Morgan, ainsi que de Laura G. et James J. Ross.
Les événements et la programmation liés à la réouverture de l’aile Michael C. Rockefeller ont été rendus possibles grâce à la Breyer Family Foundation, la Ford Foundation, Samuel et Gabrielle Lurie, le Rockefeller Brothers Fund, et la Thompson Family Foundation. Du soutien supplémentaire est fourni par Stephen M. Cutler et Wendy N. Zimmermann, Kyveli et George Economou, Ed et Dale Mathias, la Mex-Am Cultural Foundation Inc., et deux donateurs anonymes.
L’équipe des arts d’Afrique comprend Alisa LaGamma, conservatrice Ceil et Michael E. Pulitzer du département des Arts d’Afrique et conservatrice en charge de l’aile Michael C. Rockefeller, Jennifer Peruski, conservatrice adjointe, Sandro Capo-Chichi, associé principal de recherche, ainsi qu’Adekunle Adeniji, résident Lurie, et Philip Segadika, résident de l’aile Michael C. Rockefeller Afrique en 2025.
L’équipe des arts des Amériques précolombiennes comprend Laura Filloy Nadal, conservatrice du département des Arts des Amériques précolombiennes ; Joanne Pillsbury, conservatrice Andrall E. Pearson du département des Arts des Amériques précolombiennes ; Amanda Suárez Calderón, résidente de Lurie ; Carol Rodríguez Romero, résidente Lurie ; et Carol Velandia, stagiaire.
L’équipe des arts d’Océanie comprend Maia Nuku, conservatrice Evelyn A. J. Hall et John A. Friede du département des Arts d’Océanie, et Sylvia Cockburn, associée principale de recherche.
L’équipe de l’aile Michael C. Rockefeller comprend David Rhoads, Christine Giuntini, Lauren Posada, Raychelle Osnato, Damien Marzocchi, Jessi Atwood, Matthew Noiseux, Paige Silva, et Lydia Shaw.
La restauration de ces collections a été supervisée par Lisa Pilosi, restauratrice Sherman Fairchild responsable, avec les restaurateurs Dawn Kriss, Sara Levin, Amanda Chau, Katharine Fugett, Teresa Jiménez-Millas, Marijn Manuels, Katherine McFarlin, Nick Pedemonti, Carolyn Riccardelli, Netanya Schiff, Chantal Stein, Ahmed Tarek, et Marlene Yandrisevits, avec l’aide supplémentaire du département de Restauration des objets, ainsi que d’une équipe de préparateurs en restauration dédiée à la collection de l’aile Michael C. Rockefeller : Matthew Cumbie, Nisha Bansil, Johnny Coast, Jennifer Groch, Lindsay Rowinski, Nina Ruelle, et Barbara Smith, et les préparateurs Warren Bennet, Andy Estep, Jacob Goble et Frederick Sager.
L’équipe de conception du Met, supervisée par Alicia Cheng, cheffe de la conception, comprend Patrick Herron, Alexandre Viault, Tiffany Kim, Anna Rieger, Maanik Chauhan, Sarah Parke, Clint Coller, Jourdan Ferguson, et Amy Nelson, avec le soutien de Rebecca Forgac.
La conception de l’aile Michael C. Rockefeller a été dirigée par WHY Architecture, en collaboration avec le département de Conception du Met. Le cabinet d’architecture Beyer Blinder Belle a dirigé la conception du mur en verre incliné extérieur. La construction a été dirigée par AECOM Tishman. L’équipe a collaboré avec des ingénieurs parmi lesquels Kohler Ronan, Thornton Tomasetti et Arup. Les vitrines ont été fabriquées par Goppion. Le processus de conception et de construction a été dirigé par Justin Mayer (chef de projet principal, projets d’investissement) et Mabel Taylor (cheffe de projet associée) du département des Projets d’investissement du Met, sous la supervision de Brett Gaillard (cheffe des projets d’investissement).
À propos du Metropolitan Museum of Art
Le Metropolitan Museum of Art a été fondé en 1870 par un groupe de citoyens américains, comprenant des hommes d’affaires, des financiers, ainsi que des artistes et des penseurs influents de l’époque, qui souhaitaient établir un musée dédié à l’art et à l’éducation artistique pour le peuple américain. Aujourd’hui, le Met présente des dizaines de milliers d’objets, couvrant 5 000 ans d’art du monde entier, que chacun a la possibilité de découvrir et d’apprécier. Le musée est réparti sur deux sites emblématiques à New York : le Met Fifth Avenue et le Met Cloisters. Des millions de personnes participent également à l’expérience du Met en ligne. Depuis sa création, le Met s’efforce d’être plus qu’un simple écrin d’objets rares et magnifiques. Chaque jour, l’art prend vie dans ses galeries, à travers des expositions et des événements qui dévoilent de nouvelles idées et tissent des liens inattendus à travers les époques et les cultures.
###
Mise à jour : 28 mai 2025
Images : Vues des installations de l’aile Michael C. Rockefeller Toutes les photos sont de Bridgit Beyer.